Le Vieux-Poste de Traite de Sept-Îles
Depuis que nous apprenons l’histoire du Québec, on nous présente les postes de traite. Néanmoins, voir quelque chose en réalité et en parler en classe sont deux choses très différentes. Alors, quand Steve Dubreuil, notre guide extraordinaire du Musée régional de la Côte-Nord, nous a amenés au Vieux-Poste de Traite de Sept-Îles, nous avions une idée de ce que nous verrions, mais peut-être pas l’image en entier. Honnêtement, je m’attendais à un petit stand de limonade, peut-être la grandeur d’une table. Plutôt, nous sommes arrivés à un petit village complet avec chapelle et petites maisons. En dehors du poste, monsieur Dubreuil nous a parlé de la fondation de ces postes de traite et de la célèbre Compagnie de la Baie d’Hudson. C’était intéressant d’apprendre quelque chose et de voir le résultat de ce qu’on a appris juste devant nos yeux. Il donne un peu plus de vérité à ce que nous avons appris en classe. Entrer dans le poste lui-même semblait plus comme remonter dans le temps. La réplique du poste de traite, dans le respect de l'époque, était tellement réussie, et monsieur Dubreuil nous a partagé plusieurs informations. Il a parlé de ce que les autochtones et allochtones échangeaient et comment leur économie était structurée. Le poste avait des belles fourrures préparées, comme celle d’un lynx et d'un castor, par exemple, et la marchandise européenne. Nous avons vu les jeux de cartes, les pots et d’autres produits manufacturés que les Européens ont échangés avec les autochtones pour de la fourrure. C’était une expérience très enrichissante pour vraiment comprendre l’importance des postes de traite dans l'économie d'antan et les relations entre allochtones et autochtones durant ce temps.
Alexandra Papathanasopoulos
Depuis que nous apprenons l’histoire du Québec, on nous présente les postes de traite. Néanmoins, voir quelque chose en réalité et en parler en classe sont deux choses très différentes. Alors, quand Steve Dubreuil, notre guide extraordinaire du Musée régional de la Côte-Nord, nous a amenés au Vieux-Poste de Traite de Sept-Îles, nous avions une idée de ce que nous verrions, mais peut-être pas l’image en entier. Honnêtement, je m’attendais à un petit stand de limonade, peut-être la grandeur d’une table. Plutôt, nous sommes arrivés à un petit village complet avec chapelle et petites maisons. En dehors du poste, monsieur Dubreuil nous a parlé de la fondation de ces postes de traite et de la célèbre Compagnie de la Baie d’Hudson. C’était intéressant d’apprendre quelque chose et de voir le résultat de ce qu’on a appris juste devant nos yeux. Il donne un peu plus de vérité à ce que nous avons appris en classe. Entrer dans le poste lui-même semblait plus comme remonter dans le temps. La réplique du poste de traite, dans le respect de l'époque, était tellement réussie, et monsieur Dubreuil nous a partagé plusieurs informations. Il a parlé de ce que les autochtones et allochtones échangeaient et comment leur économie était structurée. Le poste avait des belles fourrures préparées, comme celle d’un lynx et d'un castor, par exemple, et la marchandise européenne. Nous avons vu les jeux de cartes, les pots et d’autres produits manufacturés que les Européens ont échangés avec les autochtones pour de la fourrure. C’était une expérience très enrichissante pour vraiment comprendre l’importance des postes de traite dans l'économie d'antan et les relations entre allochtones et autochtones durant ce temps.
Alexandra Papathanasopoulos